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27 Şubat 2014 Perşembe

L’illusion de Dawkins

L’illusion de Dawkins

Un grand nombre d’articles et de livres ont été publiés afin de réfuter les opinions de Dawkins, mais la plupart d’entre eux se focalise purement sur la défense de la religion de son auteur. J’aimerais adopter une approche différente : mettre à l’épreuve les déclarations de Dawkins à travers le test de la logique et voir comment elles résistent à un examen critique.

Richard Dawkins, l’auteur du Gène égoïste, a joui d’un prestige grandissant depuis la parution de son dernier livre, Pour en finir avec Dieu, devenu un best-seller mondial. Ce livre est devenu le tract le plus populaire sur l’athéisme de ces derniers temps. Cependant, il ne doit sa popularité ni à son originalité, ni à sa qualité académique, mais plutôt à la nature de la rhétorique qu’il utilise. Pour en finir avec Dieu est écrit sur un mode passionnel, provocant, impitoyable et sur un ton d’intimidation. Le genre de style qu’il utilise suscite un sentiment de colère dans les cœurs des croyants et fait exulter les nombreux athéistes de par le monde ; le livre doit sa popularité à sa capacité à exacerber les émotions des lecteurs, au risque de division et de haine grandissantes entre croyants et non croyants.

Malgré l’effervescence des médias, les déclarations de Dawkins ne restent majoritairement que des répétitions de très anciens arguments allant à l’encontre de la religion et de l’existence de Dieu, pris dans un contexte différent et consolidés par différents exemples.

Les allégations de Dawkins peuvent être ramenées à deux thèses principales :
1. La religion est l’un des plus grands maux terrestres.
2. Dieu n’existe probablement pas (p. 137).

Le raisonnement logique qu’il utilise pour prouver sa première thèse est dépourvu de tout sens et mal fondé. Il pointe du doigt certains chrétiens fanatiques qui mettent le feu à des cliniques d’avortements et il conclut que le christianisme est mauvais parce qu’il inspire des des actes de violence méprisables. Selon la même logique erronée, l’islam est mauvais car certains terroristes et agresseurs-suicides qui se revendiquent musulmans ont participé aux attentats du 11 Septembre. Pour Dawkins, il importe peu qu’il y aient des millions de chrétiens et de musulmans honnêtes, motivés par les préceptes religieuses et prêts à s’améliorer en tant qu’êtres humains. Selon cette logique, on pourrait tout aussi bien prétendre que si des millions de personnes boivent de l’eau provenant de la même fontaine, et ce, depuis des siècles, et que certains d’entre eux tombent malade, la cause en est l’eau de la fontaine. Si Dawkins s’était donné la peine d’approcher la question scientifiquement et avait examiné les études effectuées sur la violence, il aurait appris que la violence n’a rien à voir avec la foi et que les terroristes sont rarement motivés par des préceptes de la religion, mais plutôt par des considérations d’ordre politique et nationaliste. Une étude sur ce sujet a été menée par le professeur Robert Pape de l’université de Chicago. Il a compilé les données les plus exhaustives relatives aux attentats-suicides perpétrés à travers le monde ces vingt dernières années. Cette étude de grande envergure qui explore les causes des attentats-suicides a fait l’objet d’un livre  : Dying to Win. L’auteur résume comme suit les conclusions auxquelles il parvient : « Les données nous montrent qu’il y a peu de lien entre les attentats-suicide terroristes et le fondamentalisme musulman, ou n’importe quelle autre religion du monde. En fait, les instigateurs qui mènent les attaques suicides sont les Tigres Tamouls dans le Sri Lanka, un groupe marxiste-léniniste dont les membres bien qu’issus de familles hindoues sont fortement opposés à la religion… Ce que toutes les attaques terroristes ont en commun c’est cette même volonté de contraindre les démocraties modernes à retirer leurs troupes des territoires qu’ils considèrent être leur patrie. »

Pendant que des études scientifiques comme celles menées par Pape continuent à démontrer que ce qui mène à la violence, c’est un ensemble de facteurs très spécifiques n’ayant aucun lien avec la religion, il est étonnant de voir Dawkins faire cette déclaration infondée selon laquelle « seule la foi religieuse constitue une force suffisamment puissante pour pouvoir déclencher une folie meurtrière aussi extrême » (p. 343).

Le fait que les plus importantes atrocités de l’histoire de l’humanité ont été commises par des leaders non religieux tels que Hitler, Staline ou Pol Pot, ou par des groupes non religieux comme les Tigres Tamouls, ne suscite aucune interrogation chez Dawkins. En prétendant que  « … si les athées peuvent faire le mal, ils n’agissent pas au nom de l’athéisme » (p.315). Dawkins se persuade lui-même de ce deux poids deux mesures, alors que la seule conclusion qui soit logique et vraie est évidente : si les non croyants commettent autant de mal que les croyants, il est impossible de condamner la religion pour des actes commis par quelques anarchistes qui se trouvent être ou se prétendent être religieux, et particulièrement lorsque des millions d’autres, qui adhèrent à la même religion, condamnent ces mêmes actes.

La caractère fallacieux du raisonnement sur lequel repose la première thèse de Dawkins est ici largement démontré, analysons maintenant sa deuxième affirmation, celle liée à l’existence de Dieu.

Définition de Dieu
Pour rester cohérent dans notre discussion, nous devons nous en tenir à une définition commune. Le concept de Dieu dans cet article ne correspond pas à une perception se rapportant à une religion donnée. C’est une définition propre à Dawkins. Il définit Dieu comme « un surhumain, une intelligence surnaturelle capable de concevoir et de créer l’univers et tout ce qui se trouvent dedans, et ce, délibérément » (p. 52). Bien que le mot « surhumain » semble vague et peu précis, j’accepte le reste de la définition comme base pour notre discussion.

En premier lieu, Dawkins tente de ramener la question de l’existence de Dieu à un problème scientifique et essaie de démontrer que sa probabilité est inférieure à 50 %.

Quelle est la probabilité de l’existence de Dieu ?
Peut-on démontrer l’existence ou non de Dieu par des moyens scientifiques ? La définition proposée par Dawkins ne répond pas à cette question. Comment évaluer un être « surnaturel » usant exclusivement de moyens physiques ? Beaucoup de penseurs considèrent que la question de l’existence de Dieu n’est ni démontrable, ni réfutable par la science et la certitude mathématique. Dawkins n’est pas dupe au point d’affirmer le contraire de manière frontale, mais essaie d’éluder la chose en introduisant le concept de probabilité :  « Même si l’existence de Dieu ne peut, d’une façon ou d’une autre, jamais être prouvée ou démentie avec certitude, les preuves et raisonnements disponibles aboutissent néanmoins à une probabilité inférieure à 50 % » (p. 73). Cette affirmation nous montre l’ignorance de Dawkins dans le domaine de la probabilité, ainsi que son besoin désespéré de marquer des points avec un autre argument perdant.

Mais comment évaluer une probabilité ? Si je tire à pile ou face et vous demande la probabilité de tomber sur « pile », vous serez tentés de dire « 50 % », mais en êtes-vous sûrs ? Comment pouvez-vous être sûr que la pièce en question n’est pas truquée ? Comment pouvez-vous être sûr que je ne peux pas lancer ma pièce avec une telle exactitude que le résultat sera toujours « face » ? En fait, vous n’en savez rien. En mathématiques, il existe deux façons de calculer les probabilités. La première est d’émettre des hypothèses ; cette méthode peut donner de bons résultats si les hypothèses de départ sont bonnes. Dans le cas de la pièce, vous pouvez penser que c’est une pièce parfaite, avec une distribution de poids uniforme, entièrement symétrique, et qu’elle est lancée d’une manière totalement aléatoire. Mais si ces hypothèses sont incorrectes, l’évaluation ne sera pas précise. La deuxième façon consiste à répéter l’expérience plusieurs fois et d’enregistrer à chaque fois le résultat. Vous pouvez jeter la pièce mille fois. Si elle atterrit sur la partie pile 300 fois et sur la partie face 700 fois, alors votre estimation de la probabilité des piles sera de 30 %. Ce résultat permettrait de montrer aussi que l’hypothèse sur l’équité est incorrecte. Obtenir une vraie estimation impliquerait de lancer la pièce indéfiniment et de noter la limite de cette proportion, mais une telle expérience est irréalisable. Quand Dawkins tente d’évaluer la probabilité de l’existence de Dieu, il ne lui est pas possible d’utiliser la seconde méthode ; parce qu’il ne s’agit pas d’une expérience à renouveler plusieurs fois de suite. Par conséquent, il aboutit à sa conclusion en utilisant la seule méthode restante : en émettant des hypothèses. Il émet certaines hypothèses très complexes et il en conclut que l’existence de Dieu est hautement improbable. Mais je peux émettre ma propre hypothèse et trouver une toute autre probabilité. À vrai dire, je pourrais envisager que Dieu existe, et avec une telle supposition mon estimation de probabilité de l’existence de Dieu serait de cent pourcent. En fin de compte, lesquelles de ces hypothèses semblent correctes ?

Qui a créé Dieu ?
Dawkins n’a qu’un seul argument fort à l’encontre de l’existence de Dieu, qu’il martèle tout au long de son livre : « Qui a créé Dieu ? » (p. 136) ; « Qui a conçu le concepteur ? » (p. 147) ; « Le Concepteur même pose le plus important problème : celui de sa propre origine » (p. 146). Cette même question est évoquée de manière continue tout au long des pages 151, 161, 169, 171, 176, 178, 183, 186, 187 et 188. Au-delà de la troisième ou quatrième répétition, cela commence à devenir ennuyant. Le lecteur poursuit sa lecture dans l’espoir de trouver des idées innovantes, mais l’espoir s’évanouit une fois parvenu à la dernière page. Alors que je me demandais ce qui pouvait bien motiver ces multiples répétitions, la réponse surgit de ces mêmes pages : « Si vous répétez une chose très fréquemment, vous finirez par vous convaincre vous-même de sa véracité » (p. 394).

Dawkins croit que cette question est son dernier argument à l’encontre de l’existence de Dieu. Mais cette question est loin d’être nouvelle. Ainsi, le recueil de hadiths d’al-Boukhari (compilé en 846 av. J.-C.) rapporte-t-il ce dit du Prophète Mohammed (paix et bénédiction soient sur lui) : « Un jour viendra où certaines personnes vont demander si Dieu a tout créé et qui a créé Dieu » (2). Est-ce vraiment un argument fort contre l’existence de Dieu ? Si dans les esprits de tout un chacun, Dieu est juste un être complexe, tout comme tel « le dernier Boeing 747 » (p. 138), alors cette question mérite d’être posée. Mais quand Dieu est présenté comme l’Être à l’origine de la création — comme le font les chrétiens, les juifs, les musulmans ainsi que de nombreux hindous et bouddhistes — alors, par définition, Il n’a pas été créé ; Il n’aurait pas été Dieu s’Il avait été créé. Cette idée est assez bien illustrée par une métaphore. Dans un train en marche, chaque wagon est tiré par celui qui le précède. Mais la locomotive quant à elle, n’est tirée par personne et pourtant elle tire tous les wagons. La question « Qui tire la locomotive ? » n’a pas de sens parce que par définition la locomotive n’a pas besoin d’être tirée. Le concept « d’être tiré » tout simplement ne s’applique pas à la locomotive. De même, dans le recul infini de la création, Dieu symbolise la locomotive, ce qui rend la question « Qui a créé Dieu ? » dépourvue de sens. Par conséquent, l’argument de Dawkins, qui rend l’existence de Dieu improbable, n’est rien d’autre qu’une question paradoxale et absurde. On pourrait répondre à cela en disant que « le fait pour une question d’être formulée de manière grammaticalement correcte ne lui confère pas un sens pour autant » (p. 56).

Bien évidemment, ce que les personnes telles que Dawkins insinuent réellement avec cette question, c’est : « Si toute forme d’existence a besoin d’une cause, comment se fait-il que Dieu puisse exister sans une cause préalable ? Et si Dieu existe sans une cause précise, alors comment se fait-il que l’univers existe sans une cause ? » Une réponse logique serait de dire que chaque existence n’a pas besoin de cause, mais que toute chose ayant un début a besoin d’une cause. L’univers a un début, par conséquent il a besoin d’une cause. Selon la théorie de la relativité, le temps est une dimension de cet univers. Comme conséquence immédiate, le temps fait partie aussi de cette nature (naturel). Selon la définition même de Dawkins, « Dieu est surnaturel », ce qui signifie qu’Il est au-delà et au-dessus de toute chose appartenant à cet univers, y compris le temps. Si tel est le cas, alors Dieu est éternel (intemporel). Il n’a ni commencement ni fin, donc, Il n’a pas besoin d’une cause. Une importante partie du livre de Dawkins est consacrée à la présentation du principe anthropique, qui est considéré être un des plus solides arguments en faveur de l’existence de Dieu.

Le principe anthropique
Selon une conception du principe anthropique, parfois appelé le principe anthropique fort, les lois et les constantes de cet univers ont des propriétés qui rendent l’existence d’une vie intelligente inéluctable. Sans doute vivons-nous dans une planète propice à la vie. Pourtant, la probabilité qu’une planète le soit est extrêmement faible dans la mesure où un grand nombre de conditions et d’éléments ont besoin d’être rassemblés afin de façonner un environnement propice à la vie. Par exemple, la planète doit être à une distance précise de l’étoile (le soleil), et posséder la bonne composition d’éléments tels que le carbone, l’eau, les bons gaz atmosphériques et la bonne température. Il est difficile de dire que toutes ces conditions coexistent aléatoirement. Il s’agit d’un des arguments forts en faveur de l’existence de Dieu. Dawkins ne répond pas à cet argument en brandissant son couteau suisse — « Qui a créé Dieu ? » — mais de préférence en utilisant le seul autre argument du livre qui mérite d’être débattu. Néanmoins, il explique l’existence d’une vie complexe sur terre par le biais de la théorie de l’évolution, et en évoquant cette théorie, il tente de dire comment les conditions de vie étaient établies, c’est-à-dire, de quelle manière la vie sur terre a commencé, car pour que quelque chose puisse évoluer, cette chose a besoin d’évoluer dans les conditions optimales. L’argument de Dawkins, contre le principe anthropique, n’est qu’une spéculation à propos du grand nombre des planètes. Aujourd’hui, les scientifiques pensent qu’il y a un quatrillion (un million de trillion) de planètes dans l’univers, mais ce nombre n’est qu’une approximation extrapolée de notre système solaire. Ce n’est pas un nombre observable. « Supposons que la première forme de vie était si improbable qu’elle était de l’ordre de un pour un milliard… même avec un taux aussi absurde, la vie aurait pu apparaître sur un milliard de planètes, parmi lesquelles la Terre », affirme Dawkins (p. 138). Deux parties essentielles de cet argument s’en trouvent affaiblies : l’hypothèse contenue et la conclusion. Son hypothèse que « la probabilité de départ de la vie sur une planète est de un sur un milliard » peut très bien être incorrecte. Dawkins ne fournit aucune explication pour cette hypothèse. Le fait que cela semble être une petite probabilité ne signifie pas que nous devrons l’accepter. Pourquoi un sur un milliard ? Peut-être cette probabilité est d’un sur un trillion de fois un trillion, une situation où il n’y aurait même pas assez de planètes pour rendre la probabilité plausible. Le second point concerne un problème mathématique encore plus important. Au moment de calculer les probabilités, il faut définir correctement les espaces échantillons des événements. C’est-à-dire, au moment de l’étude des probabilités de l’apparition de la vie sur une planète donnée, notre espace échantillon ne représente pas toutes les planètes de l’univers ; mais plutôt ce sont des planètes propices à la vie comme la Terre. Il est impossible d’inclure Jupiter dans l’espace échantillon car c’est un fait connu qu’aucune forme de vie n’est possible sur cette planète. Par conséquent, il vaut mieux commencer par évaluer le nombre de planètes de cet univers où il y a un environnement favorable à la présence de la vie. S’il y a seulement un million de ce type de planètes et que les chances de vie sont d’un sur un milliard, les chances de vie s’en trouvent fortement compromises. Si tel est le cas, les circonstances de vie sur Terre nécessite une explication différente de la théorie du hasard.

L’impossibilité à considérer le hasard comme facteur probable à l’origine de la vie, n’est certes pas le seul lien faible dans la théorie de l’évolution. L’évolutionniste Mark Ridley indique dans Le Démon de Mendel que l’origine des cellules eucaryotes (cellules à noyau, et d’autres caractéristiques, comme les cellules humaines et animales) est une étape encore plus difficile et statistiquement improbable que l’origine même de la vie. D’autres étapes improbables similaires, comme l’origine de la conscience, ont aussi été discutées par les scientifiques. De plus, il est évident — même pour Dawkins — que nous ne vivons pas seulement sur une planète favorable à la présence d’une vie, mais aussi dans un univers où « les lois physiques doivent être assez bonnes pour pouvoir permettre à la vie d’exister… les physiciens ont calculé que si les lois et les constantes de physique avaient été ne fut-ce que légèrement différentes, l’univers se serait développé d’une manière telle qu’aucun signe de vie n’aurait vu le jour » (p. 169). Pour répondre à ce défi de son argument du hasard, Dawkins évoque l’hypothèse d’univers multiples : « Il y a autant d’univers que de bulles de savon, dans un «multivers». Les lois et constantes de n’importe quel univers, tout comme notre univers visible, sont des règlements » (pp. 173-174). Brièvement, il conclut qu’un de ces univers peut accueillir la vie et résoudre la difficulté d’expliquer un seul univers en acceptant qu’il y en a plusieurs. Pourtant, son hypothèse de multivers est loin d’être scientifique ; c’est une opinion. Il est plus simple de dire que Dieu a créé l’univers.

Alors, comment se fait-il que l’univers (ou multivers) est apparu en tout premier lieu ? Les physiciens estiment l’âge de l’univers aux alentours de 14 milliards d’années du temps de sa formation, c’est-à-dire le Big Bang ; nous savons par déduction qu’il n’a pas toujours existé.

La majorité des arguments du livre de Dawkins sont absurdes, et dans la plupart des cas, basés sur des hypothèses et conclusions incorrectes et mauvaises. L’auteur commet des erreurs colossales en débattant de sujets auxquels il est étranger, telle la théorie des probabilités. En tant qu’universitaire, il n’a aucune expertise en matière de sociologie et pourtant il ne se prive pas de faire des affirmations sur le rôle des religions dans la société. On peut à bon droit dire que Dawkins est un auteur à succès qui use de son titre de scientifique pour donner crédibilité à des théories pauvres et souvent erronées, qui sont d’ailleurs ni scientifiques ni objectives. Les athées du monde entier lui seront redevables d’avoir été un défenseur fanatique de leur « foi », mais ceux qui recherchent la vraie science seront à même de voir clairement les défaillances présentes dans son œuvre. Bayram Yenikaya est chercheur en mathématiques.

Références
Pape R., Dying to Win, Random House, New York, 2005.
Al-Boukhari M.I., Sahih al-Boukhari, trad. par M.M. Khan, 9 vol., Kazi Publications, Chicago, 1979.
Gulen M.F., Questions And Answers about Islam, The Light Inc., New Jersey, 2005.
Ridley M., Mendel’s Demon, Weidenfeld & Nicolson, Londres, 2000.
Dawkins R., The God Delusion, Bantam Press, Londres, 2008.

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